popablog

Le Popablog n'est pas un site d'écrivain mais un espace autour de l'univers du roman "La Fondation Popa" de Louis-Stéphane Ulysse,, publié par les éditions du Panama. Le livre raconte l’histoire de Metzler Popa, célèbre peintre devenu amnésique, qui ne reconnaît plus son œuvre et ne sait plus comment la prolonger. Il vit dans sa fondation où l’on croisera madame Pompidou, Charles Trenet, Karl Lagerfeld, un majordome taciturne, Buddy Holly, une colonie d’artistes chiliens particulièrement gastronomes, ainsi que des oeuvres d’art vivantes... Plus qu’un texte surréaliste, à la croisée des genres, entre le « réalisme merveilleux » et l’écriture d’un Brautigan, d’une réflexion sur la création, il s’agit d’un texte sur la mémoire, la transmission, et la perte. Rappel presse (extraits): « Dans une rentrée littéraire bien morose, La fondation Popa a créé une véritable lueur de gaieté… A découvrir absolument, tant il dénote avec le paysage littéraire francophone d’aujourd’hui. » Christophe Greuet / Culture-Café « La Fondation Popa ne manque ni d'élégance, ni de qualités. Si son style extrêmement pur évoque étonnement les grands de la ligne claire (Hergé, Edgar P. Jacob, Yves Chaland et Ted Benoît), le roman emprunte aussi au charme suranné des Perec, Raymond Roussel ou Kafka, tout en débordant parfois vers les excentricités contemporaines d'un Will Self. Au fil des pages on croise Buddy Holly, Yma Sumac ou Madame Pompidou, sur fond de Devo et de Jonathan Richman… » Maxence Grugier / Mille-Feuilles « Par petites touches impressionnistes, chapitre après chapitre, La Fondation Popa distille son intrigue, ses anecdotes et ses coups de folie. Du « canapé orange » à l'omniprésente silhouette de madame Pompidou, en passant par l'hilarante invasion des « petits Chiliens réfugiés »… Une évocation surréaliste, un rien cruel du monde de l'art doublé d'une réflexion sur la création. » Olivier Delcroix / Le Figaro « ... C’est là qu’intervient l’incroyable talent de Louis-Stéphane Ulysse… Davantage qu’un puzzle mélancolique et brillant où se côtoient personnages improbables (Charles Trenet, Buddy Holly, Yma Sumac…) et anecdotes surréalistes. La Fondation Popa, de son style modeste qui confine à la virtuosité, est surtout une redoutable plongée dans les affres de la création : sa fragilité, les mystères de sa naissance, de sa transmission. C’est enfin un hommage à ce qui rend l’homme humain et digne. » Jacques Lindecker / L'Alsace « Est sorti il y a quelques semaines un O.L.N.I., un Objet Littéraire Non Identifié, un roman qui s'appelle La Fondation Popa... On y croise des personnages incroyables mais on y croise aussi des oeuvres d'art vivantes comme ces fleurs, Les Plus Belles Fleurs de la Fondation… » François Castaing / France Musique « … L’auteur laisse entendre qu’écrire c’est témoigner, alors que raconter c’est résister, donne à voir plus fort que la vie… » Alain Veinstein / France Culture « Dans une atmosphère surréaliste défile une formidable galerie de portraits, témoins loufoque d’un passé qui se dérobe… Le roman de L.-S. Ulysse soulève aussi de manière singulière le problème de l’identité, en partant du désir et de la mémoire. » Sean Jean Rose / Numéro « Avec son dernier roman La Fondation Popa, L.-S. Ulysse s’invente un style nouveau, une écriture très différente de ce qu’il avait écrit à ses débuts comme « Soleil sale » ou « La mission des flammes », des romans sombres à l’écriture rugueuse et violente.» Stéphane Berthomet / Le Magazine des livres Contact presse : mailto:popa.panama@laposte.net

Le Popablog n'est pas un site d'écrivain mais un espace autour de l'univers du roman "La Fondation Popa" de Louis-Stéphane Ulysse,, publié par les éditions du Panama.

Le livre raconte l’histoire de Metzler Popa, célèbre peintre devenu amnésique, qui ne reconnaît plus son œuvre et ne sait plus comment la prolonger. Il vit dans sa fondation où l’on croisera madame Pompidou, Charles Trenet, Karl Lagerfeld, un majordome taciturne, Buddy Holly, une colonie d’artistes chiliens particulièrement gastronomes, ainsi que des oeuvres d’art vivantes... Plus qu’un texte surréaliste, à la croisée des genres, entre le « réalisme merveilleux » et l’écriture d’un Brautigan, d’une réflexion sur la création, il s’agit d’un texte sur la mémoire, la transmission, et la perte.

Rappel presse (extraits):

« Dans une rentrée littéraire bien morose, La fondation Popa a créé une véritable lueur de gaieté… A découvrir absolument, tant il dénote avec le paysage littéraire francophone d’aujourd’hui. » Christophe Greuet / Culture-Café

« La Fondation Popa ne manque ni d'élégance, ni de qualités. Si son style extrêmement pur évoque étonnement les grands de la ligne claire (Hergé, Edgar P. Jacob, Yves Chaland et Ted Benoît), le roman emprunte aussi au charme suranné des Perec, Raymond Roussel ou Kafka, tout en débordant parfois vers les excentricités contemporaines d'un Will Self. Au fil des pages on croise Buddy Holly, Yma Sumac ou Madame Pompidou, sur fond de Devo et de Jonathan Richman… » Maxence Grugier / Mille-Feuilles

« Par petites touches impressionnistes, chapitre après chapitre, La Fondation Popa distille son intrigue, ses anecdotes et ses coups de folie. Du « canapé orange » à l'omniprésente silhouette de madame Pompidou, en passant par l'hilarante invasion des « petits Chiliens réfugiés »… Une évocation surréaliste, un rien cruel du monde de l'art doublé d'une réflexion sur la création. » Olivier Delcroix / Le Figaro

« ... C’est là qu’intervient l’incroyable talent de Louis-Stéphane Ulysse… Davantage qu’un puzzle mélancolique et brillant où se côtoient personnages improbables (Charles Trenet, Buddy Holly, Yma Sumac…) et anecdotes surréalistes. La Fondation Popa, de son style modeste qui confine à la virtuosité, est surtout une redoutable plongée dans les affres de la création : sa fragilité, les mystères de sa naissance, de sa transmission. C’est enfin un hommage à ce qui rend l’homme humain et digne. » Jacques Lindecker / L'Alsace

« Est sorti il y a quelques semaines un O.L.N.I., un Objet Littéraire Non Identifié, un roman qui s'appelle La Fondation Popa... On y croise des personnages incroyables mais on y croise aussi des oeuvres d'art vivantes comme ces fleurs, Les Plus Belles Fleurs de la Fondation… » François Castaing / France Musique

« … L’auteur laisse entendre qu’écrire c’est témoigner, alors que raconter c’est résister, donne à voir plus fort que la vie… » Alain Veinstein / France Culture

« Dans une atmosphère surréaliste défile une formidable galerie de portraits, témoins loufoque d’un passé qui se dérobe… Le roman de L.-S. Ulysse soulève aussi de manière singulière le problème de l’identité, en partant du désir et de la mémoire. » Sean Jean Rose / Numéro

« Avec son dernier roman La Fondation Popa, L.-S. Ulysse s’invente un style nouveau, une écriture très différente de ce qu’il avait écrit à ses débuts comme « Soleil sale » ou « La mission des flammes », des romans sombres à l’écriture rugueuse et violente.» Stéphane Berthomet / Le Magazine des livres

Contact presse : mailto:popa.panama@laposte.net