La Presse du Maroc: Timidité et complicité

Maroc : La Presse marocaine, juge et partie fondamentale du drame de la mauvaise information pas crédible. Ces dernières années , la presse marocaine a relativement haussé le rideau sur des scandales aux multiples facettes financières, mœurs, injustices, sociales et divers abus de pouvoirs en détournements des fonds privés ou étatiques. La corruption s’affiche en tête de liste des causes de ces déraillements à la norme et qui plonge de plein gré sur une volonté quasi unique des personnes qui luttent décidément en sens inverse pour le non développement économique du Maroc, humain et culturel même, avec la flagrante complicité de cette même presse marocaine, qui ne fait que de cadrer les faits en fonction de leurs objectifs : Plus de ventes pour plus des recettes, et non pas pour le devoir conscient de l’information de la source à l’oreille du citoyen sans détour. La transparence de la presse marocaine est de jour en jour opaque, itérative de son contenu mais surtout laisse deviner une réalité douteuse autres que lisent les lecteurs. Parfois on a l’impression qu’on est face à une magazine pornographique de séduisante littérature, tel le cas de nombreux quotidiens ( Al Ahdath Al Maghrebia, Annahar … ) ou le journaliste excelle dans la description du viol collectif, ou l’autre avec un talent emprunté mais pas le sien ,essaie de faire sentir à ce même lecteur la souffrance d’une femme dépourvue ou déçue d’un amour tant recherché. C’est vrai l’étude en segmentation du marché est bien existante et s’impose en force même, quand on voit la cible n’est autre que des consommateurs qui siégent toute la journée les glaciers et cafés avec l’ingrédient du chômage forcé ou du luxe pour imbiber tout l’encre émis de nos journalistes. La presse marocaine puise toute son énergie de l’ignorance de ses lecteurs non soutenus par un niveau de jugements comparatifs de l’actualité marocaine absolument antagoniste à ses rivales des pays développés. On est attiré tout le temps par les appâts des gros titres bien exposés aux linéaires des kiosques, pour déboucher en fins de leurs pages sur des mannequins qui font baver les masculins et qui gomment totalement les messages qu’on vienne de retenir. Des cas de figures politiques en détresse des incidents servent parfois à promouvoir leurs ventes, telle la compagne électorale 2007 et le feuilleton de Abbas Al Fassi dans le choix des membres de son gouvernement, ou d’autres titres scandaleux des sélectionnés célèbres piliers marocains de l’économie pour donner l’impression à ce monde réceptif, que cette même presse remplit au plein son rôle voire avec dévouement même. On se demande pourquoi la presse marocaine ne s’acharne pas sur les scandales et les criminels qui éclaboussent la frimousse de la société marocaine ? D’une part pour crédibiliser l’institution d’information et d’autre part de pouvoir forger la notion du quatrième pouvoir chez le monde impénétrable de sentence . Pourquoi la presse marocaine maintient les rideaux baissés sur des personnalités et hommes d’affaires soi-disant bien connus pour tout le monde voire intouchables à leurs plumes, alors qu’on la voit vraiment dotée de sur-culot à parsemer avec fierté leurs pages à narrer avec insistance les membres du staff et l’entourage du Roi et son implication dans des affaires de corruption? Alors qu’on voit le quotidien Al Massae dans l’autre rangée investir tout son pouvoir de journaliste dans le faux feuilleton d’un mariage des homos dans la ville de Ksar El Kbir ou encore critiquer des femmes devenues ministres comme Mme Touria Jabrane. Jadis un dossier a été présenté au fameux Rachid Nini qui est en parallèle le directeur de ce même journal pour une enquête auprès du palais des congrès du Marrakech. Son patron Alami Abdelhadi en premier plan, était le dirigeant de l’entreprise et complètement impliqué dans des détournements de fonds, abus et usage des faux et qui a pu bizarrement provoquer une paralysie totale du dynamisme chez les responsables de la justice marocaine à son égard, un redressement judiciaire était en cours d’exécution, et le rôle qu’elle devrait jouer cette même justice ou ouvrant les enquêtes via des commissions objectives à savoir les plaintes et les pétitions munis des pièces à convictions par d’autres publiées dans le web était inerte, ou plus simplement pour Nini ,faire des brèches au niveau des communes douteuse de leurs gestions au lieu de marquer fort la limpidité de la Lydec pour les fonds expatriés à l’étranger. Résultat de cette sympathie entre les vrais criminels et la presse marocaine, des titres fonciers qui se divisent en deux ( le cas toujours de Abdelhadi Alami ), des sommes d’argents évaluées à des milliards en devise même expatriées dans des banques off shores ( le cas de Abdelhadi Alami ) , des milliers des hectares arrachés de leurs vrais propriétaires en faveur de célèbre Mr Ahardane, des milliers des crimes perpétrés dans notre pays alors que la presse cherche uniquement le constat mais pas l’origine du fléau, du chômage en évolution alors que des projets naissent par ci par la etc….. Tant des questions à poser mais les réponses sont uniques, Ford dans le temps disait dans ses promotions de ventes de voitures, faites le choix de n’importe quelle couleur de voiture, je ne vous vend que du noir, même principe pour la presse marocaine, posez autant que vous voulez des questions on ne vous vend que des crimes et de sexe pas plus, ne serait que pour adoucir les mœurs et attiser les envies des démunis en sentiments. Pour des raisons de ventes et de finances , la presse marocaine n’a apparemment pas l’intention d’entrer dans des guerres de confrontations avec des suspects bien blindés de leurs immunités, mais sans doutes tenue à servir le lecteur comme elle le fait maintenant et noircir plus que jamais le chemin de sa brillance de volonté d’esprit de voir clair .

Maroc : La Presse marocaine, juge et partie fondamentale du drame
de la mauvaise information pas crédible.


Ces dernières années , la presse marocaine a relativement haussé le rideau sur des scandales aux multiples facettes financières, mœurs, injustices, sociales et divers abus de pouvoirs en détournements des fonds privés ou étatiques. La corruption s’affiche en tête de liste des causes de ces déraillements à la norme et qui plonge de plein gré sur une volonté quasi unique des personnes qui luttent décidément en sens inverse pour le non développement économique du Maroc, humain et culturel même, avec la flagrante complicité de cette même presse marocaine, qui ne fait que de cadrer les faits en fonction de leurs objectifs : Plus de ventes pour plus des recettes, et non pas pour le devoir conscient de l’information de la source à l’oreille du citoyen sans détour.

La transparence de la presse marocaine est de jour en jour opaque, itérative de son contenu mais surtout laisse deviner une réalité douteuse autres que lisent les lecteurs. Parfois on a l’impression qu’on est face à une magazine pornographique de séduisante littérature, tel le cas de nombreux quotidiens ( Al Ahdath Al Maghrebia, Annahar … ) ou le journaliste excelle dans la description du viol collectif, ou l’autre avec un talent emprunté mais pas le sien ,essaie de faire sentir à ce même lecteur la souffrance d’une femme dépourvue ou déçue d’un amour tant recherché. C’est vrai l’étude en segmentation du marché est bien existante et s’impose en force même, quand on voit la cible n’est autre que des consommateurs qui siégent toute la journée les glaciers et cafés avec l’ingrédient du chômage forcé ou du luxe pour imbiber tout l’encre émis de nos journalistes.

La presse marocaine puise toute son énergie de l’ignorance de ses lecteurs non soutenus par un niveau de jugements comparatifs de l’actualité marocaine absolument antagoniste à ses rivales des pays développés. On est attiré tout le temps par les appâts des gros titres bien exposés aux linéaires des kiosques, pour déboucher en fins de leurs pages sur des mannequins qui font baver les masculins et qui gomment totalement les messages qu’on vienne de retenir. Des cas de figures politiques en détresse des incidents servent parfois à promouvoir leurs ventes, telle la compagne électorale 2007 et le feuilleton de Abbas Al Fassi dans le choix des membres de son gouvernement, ou d’autres titres scandaleux des sélectionnés célèbres piliers marocains de l’économie pour donner l’impression à ce monde réceptif, que cette même presse remplit au plein son rôle voire avec dévouement même.

On se demande pourquoi la presse marocaine ne s’acharne pas sur les scandales et les criminels qui éclaboussent la frimousse de la société marocaine ? D’une part pour crédibiliser l’institution d’information et d’autre part de pouvoir forger la notion du quatrième pouvoir chez le monde impénétrable de sentence . Pourquoi la presse marocaine maintient les rideaux baissés sur des personnalités et hommes d’affaires soi-disant bien connus pour tout le monde voire intouchables à leurs plumes, alors qu’on la voit vraiment dotée de sur-culot à parsemer avec fierté leurs pages à narrer avec insistance les membres du staff et l’entourage du Roi et son implication dans des affaires de corruption? Alors qu’on voit le quotidien Al Massae dans l’autre rangée investir tout son pouvoir de journaliste dans le faux feuilleton d’un mariage des homos dans la ville de Ksar El Kbir ou encore critiquer des femmes devenues ministres comme Mme Touria Jabrane.

Jadis un dossier a été présenté au fameux Rachid Nini qui est en parallèle le directeur de ce même journal pour une enquête auprès du palais des congrès du Marrakech. Son patron Alami Abdelhadi en premier plan, était le dirigeant de l’entreprise et complètement impliqué dans des détournements de fonds, abus et usage des faux et qui a pu bizarrement provoquer une paralysie totale du dynamisme chez les responsables de la justice marocaine à son égard, un redressement judiciaire était en cours d’exécution, et le rôle qu’elle devrait jouer cette même justice ou ouvrant les enquêtes via des commissions objectives à savoir les plaintes et les pétitions munis des pièces à convictions par d’autres publiées dans le web était inerte, ou plus simplement pour Nini ,faire des brèches au niveau des communes douteuse de leurs gestions au lieu de marquer fort la limpidité de la Lydec pour les fonds expatriés à l’étranger. Résultat de cette sympathie entre les vrais criminels et la presse marocaine, des titres fonciers qui se divisent en deux ( le cas toujours de Abdelhadi Alami ), des sommes d’argents évaluées à des milliards en devise même expatriées dans des banques off shores ( le cas de Abdelhadi Alami ) , des milliers des hectares arrachés de leurs vrais propriétaires en faveur de célèbre Mr Ahardane, des milliers des crimes perpétrés dans notre pays alors que la presse cherche uniquement le constat mais pas l’origine du fléau, du chômage en évolution alors que des projets naissent par ci par la etc…..

Tant des questions à poser mais les réponses sont uniques, Ford dans le temps disait dans ses promotions de ventes de voitures, faites le choix de n’importe quelle couleur de voiture, je ne vous vend que du noir, même principe pour la presse marocaine, posez autant que vous voulez des questions on ne vous vend que des crimes et de sexe pas plus, ne serait que pour adoucir les mœurs et attiser les envies des démunis en sentiments. Pour des raisons de ventes et de finances , la presse marocaine n’a apparemment pas l’intention d’entrer dans des guerres de confrontations avec des suspects bien blindés de leurs immunités, mais sans doutes tenue à servir le lecteur comme elle le fait maintenant et noircir plus que jamais le chemin de sa brillance de volonté d’esprit de voir clair .